Jean-François STEPHAN

Nous vous présentons nos plus sincères condoléances et partageons votre douleur.
Vos voisins Gérard , Régine et Louna

C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris le décès de Jean-François. Nous nous sommes rencontrés , chez lui , à Villefranche l'hiver 1989. Je garderai de lui, le souvenir d'un homme chaleureux, hospitalier, généreux, passionné. En ces moments difficiles, je pense à son épouse Sophia, à ses filles Sarah, Leila et à toute sa famille. Je vous adresse mes plus sincères condoléances.

Mon Tonton au chapeau,

Pour moi, tu es le tonton magicien, le créateur, celui qui savait créé, a partir de bois brut, des meubles.
Tu as posé le parquet dans nos chambres d'enfants à Saint Germain, tu as créé une chambre pour Sarah à Limas, tu as transformé un Moulin en château 🏰, pour ton épouse Sophia.
Tu as eu une vie bien remplie, tu as toujours été fidèle à toi même, pas de faux semblant, pas le temps.
Tu as été authentique, entier, ce qui t'as donné cette personnalité unique et haute en couleurs.
Tu t'es montré digne à la fin de ta vie, comme l'a été papy Jean, à son heure.
Je ne te dis pas Adieu, tonton, seulement à plus, à bientôt, à tout à l'heure.
Je t'embrasse fort mon tonton.
Repose en paix .
Mes pensées vont vers toi, tes enfants et tatan Sophia. ❤️💕

Au revoir Jean-François mon oncle

Je suis de tout cœur avec vous dans ce moment difficile.
Je vous embrasse très très fort.

Papy,
Aujourd’hui, les mots me manquent pour exprimer tout ce que je ressens. Ton départ laisse un vide immense, mais ton souvenir, lui, est partout. Dans chaque éclat de rire, dans chaque conseil que tu m’as donné, dans chaque instant où je cherche un repère – c’est à toi que je pense.

Tu étais un homme simple, humble, mais ô combien grand dans ton cœur et dans tes actes. Tu avais cette sagesse tranquille, cette manière de rassurer juste par ta présence. Tu écoutais plus que tu ne parlais, mais chacune de tes paroles comptait.

Je me souviendrai toujours de nos moments partagés : les histoires que tu me racontais, ton regard bienveillant, tes petites blagues pleines de tendresse. Tu avais cette lumière en toi, celle des gens qui aiment sans condition.

Tu étais bien plus qu’un grand-père : tu étais un pilier, un guide, une épaule sur laquelle on pouvait toujours compter. Avec toi, j’ai appris la valeur du travail, le respect des autres, l’importance de la famille. Ton sourire restera gravé dans mon cœur.

Merci pour les souvenirs, pour les moments simples mais précieux, pour tout ce que tu m’as transmis. Même si tu n’es plus là physiquement, tu vivras toujours dans nos pensées, dans nos gestes, dans nos cœurs.

Repose en paix, Papy. Je t’aime pour toujours.